Je me souviens d'un regard gai et triste à la fois
Ne voulant plus prendre de risque encore une fois
Fermant les yeux sur le traquenard sans foi, ni loi
Et souriant aux âmes sensibles une dernière fois.
D'un regard sans pitié, qui se posent sur les siens
Il se tait, se protégeant alors de tous ces vauriens
Qui, dans leur main d'artiste on le vois très bien
Que rien ou bien tout ne ressemble plus à rien.
Et honorant parfois le contour d'un simple geste
A un coeur qui pleure et qui réclame tendresse
Ouvrant son détroit avec prudence, juste un zeste
Préservant son trône, rejetant tout le reste.
A la beauté d'une manigance sans scrupule
S'époustouffla, mais s'arrêtant qu'au point virgule
A l'entente des mots aux notes vraiment minuscules
Alors rebondissant sur ces airs totalement ridicules
Se montrant à la hauteur, envers tous ces exilés
Se rétracte, pour ne laissait passer qu'un petit filet
Juste ce qu'il faut pour ne point tarir et se moquer
Parcequ'il... était beau... il était bien... il souriait...