A qui le tord ?
ou
Qui porte la raison ?
De l'instant, nulle en est la suggestion !
Aux âmes liées d'une même dimension.
Il est à présent de se dire: plutôt
De ce qui est juste ou ne l'est pas.
Si se soumettre d'un rituel où l'envie n'est pas,
Il n'est pas de peine à s'en courber le dos.
Alors pourquoi ?
S'obscurcir de tant d'embarras,
Si ce n'est que de faire croire, ce qu'on est pas.
N'est-il pas abjecte de se conduire en perfide !
De fuir le vrai pour se sentir laver et limpide.
Ainsi, fier d'en faire bonne action à sa guise
Comme un gentleman qui se doit devant frêle marquise.
Qui de ce fait, par son choix, se libère tranquille.
Si reconduire la faute sur l'ôte requiert souffrance,
Alors, l'en prier à genoux n'en serait point utile.
L'obligeant obligé se voyant infligé d'obligation,
Abandonnerait sans rancune, l'autre docile.
Condamné, apeuré de se voir bannir sans rémission,
Sans mots dire se verra signer le pacte du silence.
Adoptant avec courage, cette longue absence.
Et si longs sont les maux qui engendre sa peine,
Il n'est point colère au présent d'en déclarer la haine.
Car par un beau jour de libération, se verra comblé
Lorsque l'étoile perdue, tant chérie, reviendra l'honorer.