Tu es le plus beau des Salauds,
que la terre est porté à mon égard,
pas satisfait de ma peau,
il te fallait mon sang, et mes os.
Tu as mis de l'eau dans mon regard,
du brouillard dans mon cerveau,
de la haine dans mes mots,
et fallait il qu'on se sépare ?
à coup de couteau dans le dos
...Salaud...
Ce mot que je te fax,
je veux qu'il te fasse mal,
que en souffre un max,
dans ton coeur d'animal.
Sans détours, sans détaxe,
refroidir ton sourire machinal,
de tes airs de syntaxe.
Dans millième mur de verre,
tu regarderas dehors,
tu imagineras mon corps,
étendu sous la terre.
Tu caresseras mon visage,
qui sera déja de glace,
puis tu tourneras la page,
de ton carnet de chasse.
...Salaud...
Ce mot que je te fax,
sur mon lit d'hopital,
blanchi comme à l'ajax,
au soleil matinal,
je veux qu'il te désaxe,
t'enteindre comme une balle,
et te touche en plein thorax.
...Salaud...
Dans ton flaire d'animal,
Je vais en rire un max,
déchirer ton décor digital,
sans un mot, sans masque,
bruler tes erreurs fatales.
Ce mot que je te fax,
je veux qu'il te détruise à max,
tu vois je te le dis sans mal,
au plus profond de mon final,
...SALAUD...